Florence et Stéphane mettent la fidélité au cœur de leur engagement à PARTAGE depuis 1988. Après avoir longtemps parrainé des enfants au Bangladesh, ils parrainent actuellement José Milton au Brésil, Dayana Lisbeth au Honduras et l’action de VAHATRA, notre partenaire à Madagascar. 

Comment êtes-vous entrés à PARTAGE ?  

Nous sommes entrés à PARTAGE par des amis qui y parrainaient. Nous avons quatre enfants dont deux filles porteuses de handicap. L’aînée a un handicap mental, l’avant-dernière est atteinte de la maladie de Huntington. Nous souhaitions accompagner autant d’enfants que nous en avions et donner à nos enfants une ouverture sur le monde.  

Pourquoi y êtes-vous restés ? 

De façon générale, nos engagements sont assez caractérisés par la fidélité. PARTAGE nous offre le sérieux et le solide. La reconnaissance d’utilité publique engage à certaines obligations et apporte la garantie du bon usage des fonds des donateurs. Nous aimons aussi la dimension internationale des actions. 

Quelles valeurs vous semblent primordiales ? 

La transparence, la bienveillance et l’exigence. Il faut se fixer des objectifs à la fois tenables et ambitieux. Au regard de la mission spécifique de PARTAGE, c’est primordial que ce soit une relation qui s’installe entre deux personnes et pas avec un intermédiaire. 

Y a-t-il des thématiques, parmi les domaines d’action de PARTAGE (éducation, nutrition, santé, développement communautaire et protection des abus), pour lesquelles vous avez une plus grande sensibilité ? 

Il faut tout mener de front. L’un ne va pas sans l’autre, mais si la santé et la nutrition ne sont pas en place, le reste ne suivra pas. Protéger les enfants d’adultes malveillants est également très important.  

Quel est pour vous le sens de l’adhésion 

Pour nous les deux actes sont complémentaires. L’adhésion permet de contribuer à la vie de l’association et le don formalise ensuite l’action. 

Quel est votre avis sur les programmes que vous soutenez actuellement 

Les partenaires de PARTAGE sont sérieux, professionnels et engagés. Leur action est adaptée aux circonstances locales. Concernant nos filleuls, nous aimerions avoir un peu plus d’échanges, sur ce qu’ils sont, ce dont ils rêvent. Tant mieux s’il y a des festivités et qu’ils nous les partagent, mais nous aimerions également mieux connaitre l’enfant. 

Parlez-vous de PARTAGE autour de vous 

On a plus été amenés à en parler lorsque nos enfants étaient petits, mais aujourd’hui, nous pourrions (avec des outils dématérialisés, par exemple) le faire auprès de nos amis et de leurs enfants…  Oui, faire de la pub pour que des jeunes s’engagent!